21 décembre 2008
Que personne ne vienne me quémander des oeufs...
Au début et durant le film j’me demandais quel pouvait être le réalisateur aussi barré et sadique pour réaliser une œuvre pareille ; j’étais atterrée par le caractère insalubre du film. Je me sentais presque coupable de le regarder. J’avais beau être glacé et angoissé, je ne pouvais décoller mes yeux de l’écran…
J’ai pourtant changé d’avis en
regardant l’interview du débridé Michael Haneke et reconsidéré le film
sous un tout autre angle…Un film à la fois crade et esthétique où la
violence psychologique atteint son paroxysme.
Manipulateur de grand génie, ce brillant cinéaste m'a laissé un tant
soit peu perplexe.
Have a Funny Games !
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